Violation de souvenirs
Je n'avais pas vraiment l'intention d'en parler mais j'ai du mal à me le sortir de la tête alors voilà:
La semaine dernière, la maison de mes parents a été cambriolée. La maison de mon enfance, celle où j'ai vécu de 6 à 24 ans, celle où mon fils a fait ses premiers pas, celle pour laquelle j'ai toujours un pincement au coeur quand j'y retourne (de plus en plus rarement, il est vrai!). Mes parents n'y vivent plus au quotidien, ils y séjournent moins d'un mois par an (ceci explique sûrement cela d'ailleurs!). Oh, c'est vrai qu'il n'y avait pas grand-chose à voler et que les "visiteurs" ont surtout voulu s'offrir un bon repas (copieusement arrosé!) et une nuit au chaud. Tout ça, je peux aisément le comprendre par les temps qui courent. Ce que je n'arrive pas à saisir, c'est le besoin de casser! Les choses qui n'ont pas trouvé grâce à leurs yeux, ils les ont abîmées: de l'intérieur des armoires (étagères, cintres cassés!) jusqu'aux miroirs dans les trousses de toilettes (!!!). Bien sûr, les bouteilles d'alcool, les outils de mon pères, les parfums et les bijoux ont disparu (sauf les rares qui restaient encore dans mon ancienne chambre et qu'ils ont préféré casser!) mais le plus douloureux, c'est l'état dans lequel mes parents ont retrouvé leur intérieur... Où est le plaisir là-dedans?
C'est bête mais j'ai vraiment du mal à admettre ce que ma raison ne peut expliquer!
La semaine dernière, la maison de mes parents a été cambriolée. La maison de mon enfance, celle où j'ai vécu de 6 à 24 ans, celle où mon fils a fait ses premiers pas, celle pour laquelle j'ai toujours un pincement au coeur quand j'y retourne (de plus en plus rarement, il est vrai!). Mes parents n'y vivent plus au quotidien, ils y séjournent moins d'un mois par an (ceci explique sûrement cela d'ailleurs!). Oh, c'est vrai qu'il n'y avait pas grand-chose à voler et que les "visiteurs" ont surtout voulu s'offrir un bon repas (copieusement arrosé!) et une nuit au chaud. Tout ça, je peux aisément le comprendre par les temps qui courent. Ce que je n'arrive pas à saisir, c'est le besoin de casser! Les choses qui n'ont pas trouvé grâce à leurs yeux, ils les ont abîmées: de l'intérieur des armoires (étagères, cintres cassés!) jusqu'aux miroirs dans les trousses de toilettes (!!!). Bien sûr, les bouteilles d'alcool, les outils de mon pères, les parfums et les bijoux ont disparu (sauf les rares qui restaient encore dans mon ancienne chambre et qu'ils ont préféré casser!) mais le plus douloureux, c'est l'état dans lequel mes parents ont retrouvé leur intérieur... Où est le plaisir là-dedans?
C'est bête mais j'ai vraiment du mal à admettre ce que ma raison ne peut expliquer!